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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 12:06
logo-rff.jpgTrois groupements français ont présenté leur dossier de candidature pour la future ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux, la première à être financée sous forme d'une concession au secteur privé sur le réseau national.

Les groupes de BTP Vinci et Eiffage ont chacun présenté un dossier, ainsi que Bouygues Construction, via sa filiale Bouygues Travaux Publics, associé au groupe ferroviaire Alstom, ont indiqué des porte-parole des trois groupes.

Un appel d'offres, plus détaillé que l'appel à candidatures publié en mars, sera publié au deuxième semestre 2007, pour une signature de contrat au deuxième semestre 2008, avait indiqué en mars Réseau ferré de France (RFF), propriétaire du réseau et donc autorité concédante. Interrogé, RFF n'a pas souhaité confirmer le nombre ou l'identité des groupes qui se sont portés candidats.
 
Coût : 4,9 milliards d'euros
 
La ligne reliant Tours et Bordeaux, qui fait partie du projet de liaison à grande vitesse baptisé « Sud Europe Atlantique » (SEA), devrait voir le jour en 2016 et coûter 4,9 milliards d'euros, selon le ministère des Transports.

Comme nous l'avions annoncé en mai, elle sera financée par un « partenariat public-privé » (PPP), forme de concession, et son titulaire assurera « la conception, la construction, l'entretien, le renouvellement, l'exploitation et le financement du projet à ses risques. En contrepartie, il disposera des recettes produites par l'exploitation de la ligne », selon RFF.

lgv_sea.jpgTrois candidats sont d'ors et déjà présents pour construire la future LGV ... l'entreprise Sécorail et les carrières du Thouarsais seront certainement sollicitées par les concessionnaires ce qui conduira à faire passer des trains sur nos lignes des Deux-Sèvres.
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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 18:13

Les travaux de la ligne de chemin de fer Nantes-Les Sables-d'Olonne, débutés en janvier 2006, devraient s'achever en décembre 2008. Le point à mi-parcours.

L'électrification de la ligne Nantes - La Roche-sur-Yon - Les Sables-d'Olonne est sur la bonne voie. L'opération, programmée sur trois ans, permettra aux trains, pour le moment diesel, de circuler en traction électrique de Paris jusqu'aux Sables-d'Olonne. Mise en service prévue en décembre 2008. Oublié, le changement aujourd'hui obligatoire en gare de Nantes : les passagers pourront rallier Les Sables par des TGV directs en provenance de Paris. Une petite révolution qui comporte des risques : la charge supportée par les 112 km de caténaires atteindra les 25 000 V.

« Nous allons devoir faire un vrai travail de sensibilisation des riverains pour limiter les risques d'électrocution », prévoit déjà Patrick Lahaye, chargé de projet au Réseau ferré de France (RFF), maître d'ouvrage du projet.« En attendant l'électrification proprement dite, les travaux de signalisation, télécommunications et d'ouvrages d'art sont bien entamés sur la totalité du parcours », assure Patrick Lahaye.

Malgré le tollé provoqué par l'abattage massif des arbres en bordure des voies (O.-F. des 4 avril et 4 juillet 2007), « les travaux avancent selon le calendrier prévu ».Perturbations début 2008 en VendéeLa pose de poteaux caténaires, effectuée sur le tronçon Nantes-Vertou, se poursuit cet été et jusqu'à décembre de Clisson à L'Herbergement, en Vendée. Pas de perturbations prévues. En revanche, d'octobre à septembre 2008, les travaux entre Vertou et Clisson, et entre L'Herbergement et La Roche, entraîneront la fermeture d'une des voies.

« Nous allons devoir adapter les horaires et supprimer certains trains pour éviter les croisements », commente Philippe Hecquet, chargé du projet à la SNCF, le maître d'oeuvre des travaux. Les plus grosses perturbations sont attendues entre le 16 janvier et le 18 avril 2008 : la voie unique reliant La Roche aux Sables sera fermée du lundi midi au vendredi midi. Les usagers des transports en commun ne devraient cependant pas en subir les conséquences, puisque « les liaisons ferroviaires seront reportées sur autocars », indique Philippe Hecquet.

La gare de La Roche-sur-Yon sera, elle, fermée dans la nuit du 19 au 20 janvier, « le temps de mettre en service le poste d'aiguillage informatisé qui remplacera trois postes manuels ; une première dans la région », assure Patrick Lahaye.Une fois la pose des poteaux caténaires achevée, restera à dérouler les caténaires. Des câbles de cuivre qui devraient attirer la convoitise des trafiquants. Patrick Lahaye réfléchit d'ores et déjà à différents stratagèmes afin de protéger son précieux or rouge : « Nous n'avons encore rien décidé, mais pourquoi ne pas mobiliser des services de surveillance · »Laure ANELLI.

 

Nantes-lesSables-Elec01.jpg

Ouest-France

 

 

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10 juillet 2007 2 10 /07 /juillet /2007 08:24
La LGV Poitiers - Limoges a été validée par la Commission nationale du débat public. Réseau ferré de France sollicite aujourd’hui les collectivités pour financer les études.

Entre deux et trois années d’études. C’est ce qu’a annoncé, hier soir, Jacques Santrot, le président de la CAP, en réunion de communauté d’agglomération. Ces études seront engagées dès cette année et devraient coûter trente millions d’euros. Il s’agit d’une première phase devant conduire à la déclaration d’utilité publique. Avec pour objectif à terme d’ouvrir la ligne Poitiers - Limoges en même temps que la LGV Sud-Europe Atlantique (2016).

Pour Poitiers - Limoges, l’État apportera dix millions d’euros. Réseau Ferré de France dix millions également. L’Europe quatre millions. Les collectivités locales sont invitées à mettre six millions d’euros. Les régions Limousin et Poitou-Charentes : trois millions. Le département de la Haute-Vienne : 750.000 €. Le département de la Vienne : 375.000 €. La Communauté d’agglomération de Poitiers : 375.000 €. La participation de Limoges n’a pas été indiquée.

Ces sommes ont été mises en avant lors d’une réunion du comité de pilotage qui s’est tenue, le 18 avril, à Limoges. Lequel a rappelé la décision de RFF de conduire ce projet « en cohérence avec la poursuite de l’aménagement de la ligne Paris - Orléans - Limoges - Toulouse et la modernisation des liaisons de trains express régionaux ». Conformément aux conclusions du débat public organisé l’an passé.

Hier soir, les élus de la CAP ont donné leur accord unanime à l’octroi de 375.000 € pour les études, sans l’ombre d’une discussion.
Le rapport qui leur était soumis indiquait que « L’enjeu d’une ligne à grande vitesse entre Poitiers et Limoges dépasse largement l’intérêt des deux agglomérations. Il intéresse l’ensemble du Centre-Ouest Atlantique ».


carte16.jpgC'est partie pour 3 ans d'études sur le fuseau central (en rouge) qui a été choisit par RFF après le débat public qui s'est déroulé en 2006.
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9 juillet 2007 1 09 /07 /juillet /2007 13:47
Comm'Bus : du service en plus


Le système de transport public de la communauté de communes du Thouarsais fonctionne bien, au point qu'il faut étendre son service. En plus des sept lignes régulières expérimentées depuis longtemps le vendredi et des prises en charge à la demande pour diverses destinations fixes*, un système transversal débutera ce mercredi. Alors que jusqu'à présent tous les circuits convergeaient vers Thouars, il sera désormais possible d'aller d'une commune à l'autre. Naturellement, ce transport public est ouvert à tous, et pas seulement aux personnes âgées, les gens qui pratiquent du sport, les familles qui veulent visiter un grand-parent peuvent aussi l'emprunter (1,20 € le ticket, 11 € le carnet de 10, 24 € le carnet de 25, les billets sont vendus par le chauffeur**).


Ce nouveau circuit fonctionne dès mercredi. Il part de la place du Boël à 13 h 50. Les arrêts sont les suivants (en général dans les abribus existants) : hôpital 13 h 55, Praillon 14 h, Maranzais 14 h 02, Taizé 14 h 07, Bilazais 14 h 12, Brie 14 h 18, Leugny 14 h 24, Oiron 14 h 27, Oiron (maison de retraite) 14 h 30, retour à Oiron 14 h 38, hôpital, 14 h 43, Leclerc 14 h 50, place du Boël 14 h 55, la Vasque 14 h 59, Leclerc 15 h 05. Nouveau départ de Leclerc à 16 h 30, La Vasque à 16 h 35, place du Boël 16 h 39, retour à Leclerc 16 h 43, Praillon 16 h 52, Maranzais 16 h 54, Taizé 16 h 59, Bilazais 17 h 04, Brie 17 h 10, Leugny 17 h 16, Oiron 17 h 19, Oiron maison de retraite 17 h 21, Orbé 17 h 29, hôpital 17 h 34, place du Boël 17 h 46, la Vasque (terminus) 17 h 50.

Les horaires seront disponibles dans les mairies et affichés aux arrêts. Des adaptations sont prévues après une expérience de six mois.
Pour plus de renseignements, tél. 05.49.66.14.14.

CCThouars-Transports.jpg

Le transport collectif se développe en Thouarsais ! Voilà une bonne nouvelle pour les usagers et pour l'environnement !


* On peut se rendre à la demande aux destinations suivantes : la résidence Molière, à l'hôpital, au théâtre, place du Boël, place Saint-Médard, centre Anne-Desrays, université interâges, zones commerciales, la Vasque, carrefour Paul-Bert et Capucins.
** Ce tarif ne couvre que 25 à 30 % de la dépense réelle, le complément est assuré par la communauté de communes.

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18 juin 2007 1 18 /06 /juin /2007 21:55
Voici un article publié publié par Ouest France dans son édition de la Vendée sur l'avancement des travaux d'électrification de la ligne Nantes - Vertou - La Roche sur Yon - Les Sables d'Olonne.

En effet, en octobre 2008, le TGV reviendra aux Sables d'Olonne mais cette fois ci en mode entièrement électrique. Cela nécessite de nombreux travaux de modernisation des voies et des équipements dont cette ligne avait bien besoin.

Pour visualiser l'article cliquez ici
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8 juin 2007 5 08 /06 /juin /2007 08:38

« Les Aquitains sont furieux du retard apporté à la réalisation de la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique indispensable à leurs yeux. » C'est ce qu'écrit Alain Cazal, universitaire retraité, membre de la commission de suivi de la LGV à Sylvie Abonneau, la présidente de l'association de riverains CCNTGV de Migné-Auxances et Chasseneuil.

Alain Cazal ajoute : « La réalisation de la ligne à grande vitesse est retardée depuis dix ans par une guérilla stérile, quasi permanente, qui nous a fait perdre deux tours dans le calendrier des réalisations (1). Et qui a pour effet de faire perdurer les gaspillages de carburants et les pollutions dus aux trafics routier et aérien.

De plus, le réseau ferroviaire espagnol à grande vitesse, qui sera en 2010 le plus long sur le plan mondial, devra attendre 2025 pour être enfin relié convenablement au reste de l'Europe. Un vrai gâchis. Je sais bien que Poitou-Charentes était, hélas, à l'époque, avec ses positions dépassées, la Région la plus antiferroviaire de France. La seule à ne pas avoir de contrat avec la SNCF sur les trains régionaux (2). »

Alain Cazal ajoute qu' « une poignée de braillards » opposants au prolongement de la ligne entre Bordeaux et l'Espagne et à son antenne vers Toulouse, ont empêché Alain Juppé, maire UMP de Bordeaux, et Alain Rousset, président PS de la région Aquitaine, tous les deux « hyper-favorables au projet », de s'exprimer dans une réunion publique qui s'est tenue le 19 décembre dernier à Bordeaux.
Accusé par Mme Abonneau d'avoir pris parti, M. Cazal estime au contraire « avoir bien fait son travail, par honnêteté et conscience. »

Voilà qui met sur la place publique les dissensions apparues entre l'Aquitaine et le Poitou-Charentes. Pendant longtemps, les interventions très discrètes des élus du Département et de la Région ont donné le sentiment que les riverains et leurs associations de défense exprimaient le point de vue de tous les Picto-Charentais.


(1) La LGV SEA est notamment passée après le projet de TGV Est dont les premiers trains roulent ce 10 juin.
(2) « A l'époque », comme dit M. Cazal, le conseil régional était présidé par Jean-Pierre Raffarin.

Jean-Jacques BOISSONNEAU

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8 juin 2007 5 08 /06 /juin /2007 08:31
Cherveux - Pont SNCF endommagé : l'auteur interpellé

Le 4 juin au matin, les agents SNCF avaient constaté que le pont de la voie ferrée Niort-Parthenay, qui enjambe la D 122 à la hauteur du lieudit « Malvaux », avait été endommagé, sans doute par le passage d'un camion trop haut (lire la NR du 5 juin).

Après enquête et grâce à des témoignages, les gendarmes ont identifié l'auteur des faits, responsable d'un délit de fuite : cet homme de 35 ans, salarié d'une entreprise de dépannage de la Vienne, n'avait d'ailleurs pas signalé l'accident à son employeur.

Selon toute vraisemblance, l'homme s'est engagé trop rapidement sous le pont, dont la hauteur est pourtant clairement limitée à 3 m 30, et la flèche de grue de sa dépanneuse a violemment heurté la poutrelle extérieure du tablier. Il n'a d'ailleurs pu se dégager qu'en effectuant une marche arrière.

Interpellé, l'homme, qui habite Saint-Gaudent dans la Vienne, a reconnu les faits. Une décision judiciaire sera prise à l'issue du chiffrage exact des dommages causés à ce pont de chemin de fer. La somme devrait largement dépasser les 20.000 €.

La hauteur du pont-rail est pourtant indiquée ça n'a pas suffi !!
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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 09:19

Des lignes de bus pédestres pour aller à l'école et en revenir. Saint-Léger-sous-Cholet a tenté l'expérience, la semaine dernière. Bilan plutôt positif.

Il pleut. Mais ça ne dérange pas du tout les mômes qui rentrent de l'école. A pied. Sur l'une des trois lignes de pédibus testées, la semaine dernière, à Saint-Léger-sous-Cholet. Les mômes brandissent leur brassard. Les parents arborent une casaque jaune fluo.

Le pédibus ? C'est une façon d'aller à l'école et d'en revenir, à pied. Des trajets sont établis en fonction des endroits où habitent les enfants, avec des arrêts précis à des heures non moins précises. Des parents accompagnateurs les emmènent le matin et les ramènent le soir.

« Avant, je venais plutôt en voiture », reconnaît un jeune père. Il a tenté l'expérience d'accompagnateur jeudi soir et vendredi soir. Plutôt réussi. Marc Delayer, le directeur de Choletbus, est assez content. « 19 parents se sont inscrits pour accompagner une soixantaine d'enfants. »

Choletbus fournit la logistique et l'expérience. Les lignes et les arrêts ont été déterminés avec l'entreprise et les parents. C'est toujours Choletbus qui a fourni brassards et casaques.

Chance : à Saint-Léger, les petits de l'école privée terminent un peu plus tard. Ce qui permet à leurs copains du public de venir les chercher à la sortie. Malchance. Vendredi, ils ont attendu sous la pluie alors qu'aucun élève du privé ne prenait le pédibus. Tant pis.

Deux mamans regrettent : « Sur notre ligne, il n'y a pas grand monde. » De fait, elles accompagnent seulement trois enfants. Mais elles sont enchantées de l'opération. « On ne prend pas la voiture. C'est mieux pour l'environnement. Et les enfants sont en sécurité. »

L'un des enfants qu'elles accompagnent croise sa mère en voiture. Il pleuvait. Elle a cru que le pédibus ne fonctionnait pas. Le bambin lance : « Non. Je suis en pédibus. » Fiérot. Et attentif. A la petite copine qui s'avance un peu trop devant, ils lancent : « On ne passe pas devant le chauffeur ! »

Un bilan sera tiré de l'expérience. Elle pourrait être définitivement appliquée à la rentrée. D'ici là, d'autres écoles tentent le pédibus. A Cholet, l'école Molière a mis en place deux lignes qui fonctionnent chaque samedi jusqu'à la fin de l'année. Jeudi 7 juin, c'est Jeanne-d'Arc qui s'y mettra, pour une journée. L'école du Sacré-Coeur, à Trémentines, devrait essayer d'ici la fin juin.

Ouest-France

Le pédibus : un moyen de transport pour l'école qui permet de sensibiliser les enfants à l'environnement dès le plus jeune age en se passant de la voiture !
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3 mai 2007 4 03 /05 /mai /2007 14:15

A la découverte de la future passerelle de la gare

Ouest France vous présente en exclusivité, ce matin, les premières esquisses et les grandes lignes de ce nouvel équipement appelé à entrer en gare à l'automne 2008, quelques semaines seulement avant l'arrivée du TGV, attendu, lui, pour le 14 décembre.

A quoi ressemblera la nouvelle passerelle ?

Bernard Tschumi le reconnaît volontiers. Sa nouvelle structure sera un clin d'oeil à l'oeuvre de Robert Le Ricolais (1894-1977), l'architecte yonnais à l'origine de la vieille passerelle. « Un homme en avance sur son temps », affirme-t-il. Le nouvel équipement se composera d'un tube large de trois mètres au sol agrémenté de lignes de force. « Ce sera une passerelle qui exprimera certaines forces de la physique », souligne l'architecte, qui envisage notamment de jongler entre les forces de tension et de compression, ainsi qu'avec la lumière pour composer son oeuvre.

On accédera à cette dernière par des escaliers et des ascenseurs situés des deux côtés de la gare ainsi que sur les quais.

Au sud ou enjambant la gare ?

Lors de ses travaux préparatoires, Bernard Tschumi a exploré deux pistes. Soit l'installation de la nouvelle structure au sud de la gare. « Le projet le plus neutre », concède le maire. Soit l'installation d'une passerelle qui enjamberait l'actuel bâtiment (voire l'image ci-dessous). Comme celui de Bernard Tschumi, le coeur de Pierre Regnault bat plutôt en faveur du second projet, même si ce dernier risque fort de s'apparenter à un véritable défi architectural pour nombre de Yonnais.

Quel est l'échéancier du projet ?

Le choix définitif de la future passerelle devrait être validé en séance plénière par le conseil municipal d'ici à l'été. Le coût du projet devrait avoisiner les 2 millions d'euros. Les Yonnais ne devraient ensuite plus entendre en parler pendant près d'un an. La passerelle sera réalisée dans une usine extérieure au département avant d'être livrée clé en main sur le site à l'automne 2008, quelques semaines seulement avant l'arrivée du TGV.

Yves GOURMELON.


L'architecte Bernard Tschumi présente, ce soir, à La Courtaisière, ses premières esquisses. Les Yonnais sont invités à donner leur avis aujourd'hui, à partir de 20 h 30, dans l'amphi B, du centre départemental de la Courtaisière. Entrée libre.

La gare de La Roche sur Yon se prépare à acceuillir le TGV, l'occasion de rénover la gare et sa passerelle.

La délégation bressuiraise de la FNAUT souhaiterait qu'un tel travail soit effectué pour la rénovation du quartier de la gare à Bressuire sans bien sur aboutir à un tel projet... quoiqu'une passerelle à Bressuire serait bien utile ... !

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 14:11

Qualité du matériel roulant, maintenance, tarifs : l’amélioration des TER continue

Pour continuer à améliorer la fréquentation du TER (+ 27% de 2004 à 2006), la Région franchit une nouvelle étape en optimisant d'une part le parc roulant pour une meilleure qualité de service, et d’autre part en améliorant les tarifs pour développer l’usage des transports ferroviaires. Le point sur ces nouvelles mesures adoptées par la Commission Permanente du 2 avril.

La Région optimise le parc TER pour une meilleure qualité de service

Dans le cadre de sa politique de développement et de modernisation du TER, la Région a décidé d’optimiser le parc de matériel roulant et son usage par un échange de matériels avec les Régions Aquitaine et Pays de la Loire (autorails X72500, automotrices ZTER et autorails AGC).

Il s’agit plus concrètement pour la Région d’échanger, sans coût financier supplémentaire, 10 autorails à usage sous-optimal (5 autorails X72500 et 5 automotrices ZTER)  contre 7 unités d'autorails à grande capacité (AGC), économisant ainsi 3 matériels pour un service identique,

La Région améliore les tarifs ter pour développer l’usage des transports ferroviaires

La Région s’est fixée comme objectif de développer de façon optimale l'usage des transports publics ferroviaires de voyageurs, via notamment une tarification attractive. C’est pourquoi elle a décidé le 2 avril d'offrir aux clients du TER Poitou-Charentes une nouvelle gamme tarifaire simple, attractive et répondant aux besoins de l'ensemble des voyageurs à compter du le` juin 2007. Cette gamme se compose des deux produits suivants :

  • l'abonnement TER Poitou-Charentes ouvert à tout public pour des déplacements fréquents en TER sur un trajet. Il offre la libre circulation sur un trajet déterminé pendant une période hebdomadaire ou mensuelle et permet d'accéder à certains TGV moyennant l'achat de réservations. Son titulaire bénéficie également de 25% de réduction en semaine ainsi que de 50% de réduction pour lui-même et trois accompagnateurs maximum le week-end, les jours fériés et en été sur l'ensemble du réseau TER Poitou-Charentes.
  • la Carte TER Poitou-Charentes ouverte à tout public pour des déplacements semi-fréquents et occasionnels en TER. Pour un montant de 20 € par an, cette carte offre :
    • sans condition d'âge : 25 % de réduction en semaine à son titulaire ainsi que 50% de réduction le week-end, les jours fériés et en été à son titulaire et jusqu'à trois personnes l'accompagnant;
    • pour les jeunes âgés de 16 à 25 ans : 50 % de réduction toute l'année. Le week-end, les jours fériés et en été, jusqu'à trois personnes accompagnant le titulaire de cette carte peuvent bénéficier d'une réduction identique.

Après le succès du TER à 1€, la Région adopte une nouvelle gamme tarifaire qui fera des heureux. En plus, la Région est sur le point d'aboutir dans ses négociations de réciprocité de la carte jeunes avec la Région Pays de la Loire.
Autrement dit, les jeunes bressuirais qui auront une carte jeune TER Poitou-Charentes auront droit à 50% de réduction vers toutes les gares des Pays de la Loire. C'est un gros avantage pour le nord Deux-Sèvres.

Plus de renseignements

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